L’association Stéphane Lamart, partie civile, demande justice pour Nouki et Tyrex, deux chiens gravement blessés en mars dernier à Borsroumois, dans l’Eure. Leur maître les avait poignardés avant de tenter de mettre fin à ses jours en incendiant sa maison
Leur histoire aurait pu s’arrêter dans les flammes. Nouki et Tyrex, deux chiens poignardés à la gorge par leur maître, ont survécu à l’horreur. Leur agresseur, un homme de 59 ans en détresse psychologique, devra répondre de ses actes mardi 21 octobre devant le tribunal judiciaire d’Évreux.
Les faits remontent au 18 mars 2025, à Bosroumois (Eure). Ce jour-là, l’homme aurait tenté de mettre fin à ses jours en incendiant sa maison. Avant cela, il poignarde ses deux chiens « pour ne pas les laisser seuls », selon ses déclarations. Les deux animaux, grièvement blessés mais vivants, sont retrouvés devant la maison en flammes.
Les faits remontent au 18 mars 2025, à Bosroumois (Eure). Ce jour-là, l’homme aurait tenté de mettre fin à ses jours en incendiant sa maison. Avant cela, il poignarde ses deux chiens « pour ne pas les laisser seuls », selon ses déclarations. Les deux animaux, grièvement blessés mais vivants, sont retrouvés devant la maison en flammes.
Une audience pour les intérêts civils
Pris en charge en urgence, Nouki (8 ans) et Tyrex (4 ans) ont pu être sauvés et confiés à une association de protection animale. Mais l’affaire n’en reste pas là : l’association Stéphane Lamart – Pour la défense des droits des animaux, reconnue d’utilité publique, s’est constituée partie civile le 25 avril 2025.
👉 L’association Stéphane Lamart, partie civile, veut faire reconnaître le préjudice moral subi par les deux chiens.
Représentée par Me Patrice Grillon, elle réclamera lors de l’audience du 21 octobre que soit reconnu le préjudice moral et symbolique infligé aux deux chiens, devenus malgré eux les victimes d’une violence inouïe.
👉 L’association Stéphane Lamart, partie civile, veut faire reconnaître le préjudice moral subi par les deux chiens.
Représentée par Me Patrice Grillon, elle réclamera lors de l’audience du 21 octobre que soit reconnu le préjudice moral et symbolique infligé aux deux chiens, devenus malgré eux les victimes d’une violence inouïe.