Un suspect est actuellement en garde à vue. Il est entendu par les gendarmes dans le cadre des investigations sur les chevaux mutilés en Seine-Maritime.
Un homme, suspecté d'être impliqué dans l'affaire des chevaux mutilés en Seine-Maritime, est actuellement en garde à vue. C'est Soizic Guillaume, procureure de la République du Havre, qui l'annonce ce mercredi matin dans un communiqué destiné à la presse.
A ce propos, la magistrate du parquet indique qu'elle fera un point complet sur l'enquête lors d'une conférence de presse prévue demain, jeudi 7 août, en fin de matinée, au palais de justice. Il s'agira pour elle et le directeur d'enquête de la gendarmerie d'évoquer « des évolutions décisives de ces derniers jours, sachant qu'un individu a été interpellé et se trouve toujours actuellement en garde à vue »
A ce propos, la magistrate du parquet indique qu'elle fera un point complet sur l'enquête lors d'une conférence de presse prévue demain, jeudi 7 août, en fin de matinée, au palais de justice. Il s'agira pour elle et le directeur d'enquête de la gendarmerie d'évoquer « des évolutions décisives de ces derniers jours, sachant qu'un individu a été interpellé et se trouve toujours actuellement en garde à vue »
Des attaques d’une rare violence contre des chevaux
Depuis plusieurs semaines, les gendarmes de Seine-Maritime sont mobilisés face à une série de sévices graves infligés à des chevaux, sur les ressorts des tribunaux du Havre et de Rouen.
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Chevaux mutilés en Seine-Maritime : une enquête élargie après de nouveaux actes de cruauté
Le dernier fait en date s’est produit dans la nuit du 31 juillet au 1er août 2025, dans une écurie de Saint-Martin-du-Manoir, près de Montivilliers : cinq chevaux ont été agressés, selon un mode opératoire similaire aux précédentes affaires. Un cheval a succombé à ses blessures, un autre a été gravement mutilé, perdant un œil.
Des faits similaires ont été constatés ces dernières semaines notamment dans le secteur d’Yvetot.
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Une cellule d'enquête spécialisée
Face à la gravité et à la répétition de ces actes de cruauté animale, tous les dossiers ont été regroupés. L’enquête a été confiée à une cellule interbrigades, pilotée par la brigade de recherches de la gendarmerie de Fécamp, avec le renfort des brigades du Havre, Yvetot et des unités territoriales.
La procureure de la République, Soizic Guillaume, avait confirmé la mobilisation totale des forces de l’ordre : « Les services de gendarmerie sont pleinement mobilisés pour identifier le ou les auteurs de ces faits ».
Cette coordination a permis une mobilisation renforcée des moyens d’investigation, jusqu’à l’interpellation ces dernières heures d’un suspect, désormais en garde à vue.
La procureure de la République, Soizic Guillaume, avait confirmé la mobilisation totale des forces de l’ordre : « Les services de gendarmerie sont pleinement mobilisés pour identifier le ou les auteurs de ces faits ».
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